All posts in Arts & Design

Découvrez « Cochrane Mural Mosaic », Alberta, Canada

Réalisée par des artistes confirmés, des amateurs éclairés et même… des enfants, cette « murale » exposée à Cochrane (Alberta, Canada) est composée de 216 dessins panneaux.

murale-cochrane2

Chaque panneau est une « oeuvre » unique. Pour exemple voici l’oeil du cheval en gros plan:

cochrane-oeil

Découvrez toute l’oeuvre,… et bien d’autres sur:

http://www.muralmosaic.com/Cochrane.html

Comment communiquer de manière plus « verte »? (1)

1- Recyclons. Evidence totale mais … qui pratique le simple tri sélectif proposé par notre gouvernement (sacs bleu, jaune, vert, blanc)? A la maison comme sur le lieu de travail? Votre entreprise a t-elle prévue des procédures de triage des déchets journaliers… (papier, cannette, aliment,…), non liées à l’activité de production elle-même. C’est ici encore une toute autre question!

2- Utilisons des papiers recyclés et/ou certifiés FSC et PEFC issus de la gestion forestière durable. De nombreuses possibilités et offres de papiers existent aujourd’hui. Leur qualité est à la hausse et leur prix tend à diminuer. Même s’il est encore un peu plus cher qu’un papier ordinaire. Ces “labels” peuvent bien-sûr être apposés sur les documents imprimés, ce qui nous permet de “faire savoir” notre engagement…

3- Soyons précis dans les quantités des documents de communication que nous imprimons (brochure, catalogue, Newsletter,…), cela nous évitera de devoir jeter une grande partie. Est-ce le cas dans votre entreprise? Evidemment, beaucoup se disent que le coût unitaire diminue quand la quantité imprimée augmente… c’est vrai et c’est tentant d’en produire plus… Encore plus quand on sait que réimprimer un document par manque de stock entraîne un sur-coût économique et donc écologique (nouvelle commande, mise en route machine, feuille de passe, encre,..). Il s’agit donc ici de tenter de déterminer précisément le nombre d’imprimés qu’il est nécessaire de produire.

4- Groupons les documents à imprimer. Si nous devons imprimer une carte de visite pour un nouvel employé, vérifions s’il n’est pas nécessaire d’en réimprimer pour d’autres employés à bout de leur stock. Cela évitera de commander “une” carte tous les 15 jours.

5- Evitons de “dater” les documents qui n’en ont pas la nécessité (brochure, leaflet,…). En effet bien que le contenu du message ou de l’offre soit le même, le simple fait de voir  une date antérieure (l’année passée) donne l’impression que le document est dépassé. Conscient de cela, de nombreuses entreprises jettent le stock et réimpriment du neuf, alors qu’il suffisait de ne pas mettre de date ;-).

6- Qualifions nos bases de données. Le direct mailing est un outil puissant de communication. Mais quand X% des mails, soit nous reviennent car l’adresse était mauvaise, soit ne sont pas ouverts pour cause de mauvais ciblage, c’est X% de gaspillage économique et écologique! (imprimerie, routage, frais postaux!!). A combien s’élève votre %?

7- Choisissons un imprimeur qui travaille en CTP (computer-to-plate). Cela évitera l’utilisation de films et leurs développements chimiques et … en plus donnera un meilleur rendu sur les imprimés.

8- Au moment de la conception d’un document imprimé, trouvons le juste équilibre entre l’impact de la communication visuelle et la nécessité du nombre de pages à réaliser. Si nous pouvons réaliser une brochure de 36 pages en 32 pages… pourquoi pas? Dans le cas de la conception d’un papier à lettre, certain design contemporain propose par exemple de grandes zones blanches non utilisées. Ainsi même si c’est « esthétique », il faut être conscient que nous aurons peut-être besoin de 20 pages au lieu de 16 pour imprimer un rapport. En multipliant ces 20 pages par X dossiers annuels par Y employés…faites le compte!

9- Les créatifs aiment aussi les grands aplats de couleurs (grand consommateur d’encre) ou encore les effets spéciaux (pelliculage, dorure,…) qui soit rendent plus difficiles la  recyclabilité des documents, soit utilisent beaucoup de produits chimiques. Soyons-en conscients!

10- Les papiers de “bureau” font en général du 80gr/m2 (imprimante de bureau, photocopieuse, fax). Ils peuvent aussi être remplacés par du papier recyclé ou ayant un label vert (FSC, PEFC,…). Et en utilisant un papier ne faisant que 70 ou 75gr/m2 au lieu de 80gr/m2, cela peut aussi constituer une économie de coût, voire de place de stockage.

11) Choisissez une police d’impression « écologique », c’est-à-dire qui consomme moins d’encre. Pour en savoir plus découvrez notre billet : « Ecofont, une nouvelle police d’impression, économique et écologique! »

Cherish our planet !

De la marque au logo!

Autrefois, il y avait la marque, la marque de fabrique, l’image de marque, le sigle qui désignaient à la fois la raison sociale, la dénomination et le graphisme. Le sigle était constitué d’initiales ou d’autres expressions visuelles. Aujourd’hui encore, la confusion persiste entre la marque, la dénomination, la raison sociale, le graphisme et le logo.

Le dépôt d’une marque est un acte juridique. La création d’un logo est un acte graphique. Ce qui revient à dire que la marque s’identifie par les mots écrits et que le logo s’identifie par son visuel.

Le terme logo semble avoir plusieurs origines : une origine grecque et une origine typographique.

En grec, le mot logos signifie parole et discours.
En art graphique, le discours est le logo.
En typographie, le mot logo désignait un ensemble de signes typographiques, gravés ou fondus en un seul bloc et indissociables.

Le mot anglais « type », désigne toujours le caractère typographique.

Aujourd’hui, le mot logo serait l’abréviation de logotype, en français et en anglais, couramment utilisé par les professionnels de la communication et en passe de devenir familier auprès du grand public.

(Extrait du livre  » Le logo « , par Christian Delorme, Editions d’Organisation)

Découvrez Julian Beever!

Julian Beever est un artiste britannique qui connaît la célébrité par ses oeuvres à la craie qu’il a réalisé sur les trottoirs anglais, français, allemands, américains, australiens et belges. Leur particularité ? Beever ne se contente pas de simples dessins mais donne dans l’anamorphose, des images déformées qui, vues sous un certain angle donne l’impression d’une image en 3 dimensions.

julianbeever

Be inspired with Yves Klein

Chrome abstraction – the use of one color over an entire canvas – has been a strategy adopted by many painters wishing to challenge our expectations of what an image can and should represent. Yves Klein likened monochrome painting to an « open window to freedom. » He worked with a chemist to develop his own particular brand of blue. Made from pure color pigment and a binding medium, he called it « International Klein Blue. » Klein adopted this hue as a means of evoking the immateriality and boundlessness that reflected his own peculiar utopian vision of the world.

« Yves le monochrome, » as Klein called himself, saw the monochrome painting as an « open window to freedom, as the possibility of being immersed in the immeasurable existence of color. » Although he used a range of colors before concentrating on three—blue, gold, and a red he called Monopink—he is most associated with a blue he named International Klein Blue, which he arrived at by working with a chemist to develop a binding medium that could absorb pure color pigment without dimming its brilliant intensity. A student of Rosicrucianism and of Eastern religions, Klein entertained esoteric and spiritual ideas in which blue played a vital role as the color of infinity. Keenly aware that pigment is a substance of the earth, Klein also devised methods to make paintings using the other three elements—air (in the form of wind), water (in the form of rain), and fire.

(Sources: MOMA New York – Monochrome abstraction from Yves Klein. (French, 1928-1962). Blue Monochrome. 1961. Dry pigment in synthetic polymer medium on cotton over plywood, 6′ 4 7/8″ x 55 1/8″ (195.1 x 140 cm). The Sidney and Harriet Janis Collection. © 2007 Artists Rights Society (ARS), New York / ADAGP, Paris)