À quelle tribu appartenez-vous?

A quelle tribu appartenez-vous? La tribu des Belges, la tribu du club de foot Y, la tribu de l’entreprise X et dans celle-ci la tribu des informaticiens. Chaque tribu a ses règles, habitudes, normes, son savoir-vivre et ses lieux déterminés (dans l’entreprise, il existe les salles de réunion, les espaces paysagers, le bureau du patron,…). Il existe aussi des tribus ponctuelles comme celle de “ceux qui prennent le métro”. Vous allez sans doute accepter qu’un étranger soit collé à vous dans le métro ou en discothèque mais peut-être pas en pleine rue ou au restaurant.

Dans toute situation rencontrée, il est important d’identifier rapidement à quelle tribu nous sommes liés à cet instant précis, quelles en sont les règles et quels sont les rôles de chacun. En effet, un contrôleur dans le métro aura sans doute un rôle d’autorité dans la tribu des “gens qui prennent le métro”, et pas en dehors.

Au mieux vous aurez identifié chaque tribu et ses règles, au mieux vous pourrez adapter votre comportement et votre communication à cette tribu.

(Source: Séminaire de Communication interpersonnelle – Alex Pavy)

Pourquoi une communication plus « verte »?

L’environnement est aujourd’hui sur toutes les lèvres et à toutes les sauces. De nombreuses initiatives voient le jour. Certaines sont initiées par des leaders charismatiques come Al Gore ou Nicolas Hulot, d’autres, nombreuses et toutes aussi importantes, sont lancées par des particuliers, entreprises et institutions. Que ce soit dans l’industrie automobile, dans le monde de l’énergie, du bâtiment, dans l’alimentaire, la santé chacun contribue en apportant sa pierre à ce nouvel édifice.

Et “nous”, gens de la communication d’entreprise, aussi bien du côté de l’annonceur que du côté des agences et des prestataires de services…

Que pouvons-nous faire?
Comment pouvons-nous contribuer à cet élan environnemental?

Et pourquoi?


Parce que nous sommes des citoyens “responsables”. Nos métiers respectifs et nos actions quotidiennes ont des conséquences fortes à un niveau sociétal, pouvant ouvrir certaines voies et entraîner un effet systémique, pour le bien-être de notre planète.


Parce que nous sommes aussi des gens du “business” et une communication plus verte a un double avantage:

1) Bien gérée, elle peut être bénéfique pour notre “image”.
Oui, c’est clair, la thématique environnementale est indispensable et beaucoup plus qu’un “effet de mode”. Du point de vue du marketing et de la communication d’entreprise, une approche plus verte constitue aujourd’hui un véritable avantage. Cette communication plus écologique nous donne “l’image” d’un acteur conscient des besoins et réalités de notre société, engagé, humain, flexible et capable de relever les nouveaux défis. Il est clair qu’il s’agit ici d’un levier Marketing à exploiter, à la seule condition que l’entreprise possède une réelle vision écologique et entreprenne des actions concrètes dans cette direction. On pourra alors parler d’une stratégie de marketing écologique où l’environnement devient une “opportunité” sur le marché.

2) Elle peut être plus économique.
En effet certaines actions peuvent entraîner des économies conséquentes, en particulier sur la thématique du gaspillage…

Suite voir notre billet « Comment communiquer de manière plus verte » (1)?

(Source: Alex Pavy)

Découvrez « Cochrane Mural Mosaic », Alberta, Canada

Réalisée par des artistes confirmés, des amateurs éclairés et même… des enfants, cette « murale » exposée à Cochrane (Alberta, Canada) est composée de 216 dessins panneaux.

murale-cochrane2

Chaque panneau est une « oeuvre » unique. Pour exemple voici l’oeil du cheval en gros plan:

cochrane-oeil

Découvrez toute l’oeuvre,… et bien d’autres sur:

http://www.muralmosaic.com/Cochrane.html

Comment communiquer de manière plus « verte »? (1)

1- Recyclons. Evidence totale mais … qui pratique le simple tri sélectif proposé par notre gouvernement (sacs bleu, jaune, vert, blanc)? A la maison comme sur le lieu de travail? Votre entreprise a t-elle prévue des procédures de triage des déchets journaliers… (papier, cannette, aliment,…), non liées à l’activité de production elle-même. C’est ici encore une toute autre question!

2- Utilisons des papiers recyclés et/ou certifiés FSC et PEFC issus de la gestion forestière durable. De nombreuses possibilités et offres de papiers existent aujourd’hui. Leur qualité est à la hausse et leur prix tend à diminuer. Même s’il est encore un peu plus cher qu’un papier ordinaire. Ces “labels” peuvent bien-sûr être apposés sur les documents imprimés, ce qui nous permet de “faire savoir” notre engagement…

3- Soyons précis dans les quantités des documents de communication que nous imprimons (brochure, catalogue, Newsletter,…), cela nous évitera de devoir jeter une grande partie. Est-ce le cas dans votre entreprise? Evidemment, beaucoup se disent que le coût unitaire diminue quand la quantité imprimée augmente… c’est vrai et c’est tentant d’en produire plus… Encore plus quand on sait que réimprimer un document par manque de stock entraîne un sur-coût économique et donc écologique (nouvelle commande, mise en route machine, feuille de passe, encre,..). Il s’agit donc ici de tenter de déterminer précisément le nombre d’imprimés qu’il est nécessaire de produire.

4- Groupons les documents à imprimer. Si nous devons imprimer une carte de visite pour un nouvel employé, vérifions s’il n’est pas nécessaire d’en réimprimer pour d’autres employés à bout de leur stock. Cela évitera de commander “une” carte tous les 15 jours.

5- Evitons de “dater” les documents qui n’en ont pas la nécessité (brochure, leaflet,…). En effet bien que le contenu du message ou de l’offre soit le même, le simple fait de voir  une date antérieure (l’année passée) donne l’impression que le document est dépassé. Conscient de cela, de nombreuses entreprises jettent le stock et réimpriment du neuf, alors qu’il suffisait de ne pas mettre de date ;-).

6- Qualifions nos bases de données. Le direct mailing est un outil puissant de communication. Mais quand X% des mails, soit nous reviennent car l’adresse était mauvaise, soit ne sont pas ouverts pour cause de mauvais ciblage, c’est X% de gaspillage économique et écologique! (imprimerie, routage, frais postaux!!). A combien s’élève votre %?

7- Choisissons un imprimeur qui travaille en CTP (computer-to-plate). Cela évitera l’utilisation de films et leurs développements chimiques et … en plus donnera un meilleur rendu sur les imprimés.

8- Au moment de la conception d’un document imprimé, trouvons le juste équilibre entre l’impact de la communication visuelle et la nécessité du nombre de pages à réaliser. Si nous pouvons réaliser une brochure de 36 pages en 32 pages… pourquoi pas? Dans le cas de la conception d’un papier à lettre, certain design contemporain propose par exemple de grandes zones blanches non utilisées. Ainsi même si c’est « esthétique », il faut être conscient que nous aurons peut-être besoin de 20 pages au lieu de 16 pour imprimer un rapport. En multipliant ces 20 pages par X dossiers annuels par Y employés…faites le compte!

9- Les créatifs aiment aussi les grands aplats de couleurs (grand consommateur d’encre) ou encore les effets spéciaux (pelliculage, dorure,…) qui soit rendent plus difficiles la  recyclabilité des documents, soit utilisent beaucoup de produits chimiques. Soyons-en conscients!

10- Les papiers de “bureau” font en général du 80gr/m2 (imprimante de bureau, photocopieuse, fax). Ils peuvent aussi être remplacés par du papier recyclé ou ayant un label vert (FSC, PEFC,…). Et en utilisant un papier ne faisant que 70 ou 75gr/m2 au lieu de 80gr/m2, cela peut aussi constituer une économie de coût, voire de place de stockage.

11) Choisissez une police d’impression « écologique », c’est-à-dire qui consomme moins d’encre. Pour en savoir plus découvrez notre billet : « Ecofont, une nouvelle police d’impression, économique et écologique! »

Cherish our planet !

You were born to be creative

In the late 1940’s, a group of psychologists were discussing the lack of creativity in most adults. They speculated that by the age of 45, there was only a minute percentage of the population who could think creatively. To prove that assumption they designed a creativity test and gave it to a group of 45 years old. Less that 5 percent of them were judged creative by the test.

They continued testing by reducing the age of the subjects. They tested at ages 40, 35, 30, 25, and 20 years old. The 5 percent creativity figure stayed basically the same for all these groups. Finally at 17 years old the percentage of creative individuals rose to 10 percent. At the age of 5, it sky rocketed to over 90 percent!

The conclusion ? Almost everyone is highly creative at age five.

(Source « Creativity in Business », Carol Kinsey Goman, Crisp Publications, California)

The Power of Precision Marketing

Companies :
How can we spend our marketing euros more effectively and minimize waste ?

Customers :
Why can’t companies cut out all the junk, and present me with only relevant and compelling offers?

Marketers spend millions of euros every year on advertising and other forms of marketing promotion. Is it money well spent?

In most cases, the answer is no, not by a long shot. The reason is simple: Most marketing messages reach a large number of the « wrong people » and only a small fraction of the « right people ». The wrong people are consumers from whom a company stands to derive little, if any benefit. The right people are consumers who can make all the difference in the world in terms of future growth and profitability.

In their efforts to drive brand awareness and sales revenues, smart companies are coming to realize they can no longer afford to market mostly to the wrong people. They can no longer put all their eggs in the basket of mass media marketing, or what some executives knowingly call « spray-and-pray marketing ».

Today, the pressure to demonstrate marketing ROI has never been greater. That being the case, many companies are taking a hard look at how they allocate their marketing resources. They’re taking a more scientific approach to marketing and treating it as a true business discipline. This means more rigorously capturing, analyzing, and manipulating customer data. And it means delivering narrowly defined messages that are differentiated, and designed to resonate with customers’ specific wants and needs. This process is called precision marketing.

(Source : Precision Marketing, Jezz Zabin & Gresh Brebach, John Wileys & Sons, inc)

De la marque au logo!

Autrefois, il y avait la marque, la marque de fabrique, l’image de marque, le sigle qui désignaient à la fois la raison sociale, la dénomination et le graphisme. Le sigle était constitué d’initiales ou d’autres expressions visuelles. Aujourd’hui encore, la confusion persiste entre la marque, la dénomination, la raison sociale, le graphisme et le logo.

Le dépôt d’une marque est un acte juridique. La création d’un logo est un acte graphique. Ce qui revient à dire que la marque s’identifie par les mots écrits et que le logo s’identifie par son visuel.

Le terme logo semble avoir plusieurs origines : une origine grecque et une origine typographique.

En grec, le mot logos signifie parole et discours.
En art graphique, le discours est le logo.
En typographie, le mot logo désignait un ensemble de signes typographiques, gravés ou fondus en un seul bloc et indissociables.

Le mot anglais « type », désigne toujours le caractère typographique.

Aujourd’hui, le mot logo serait l’abréviation de logotype, en français et en anglais, couramment utilisé par les professionnels de la communication et en passe de devenir familier auprès du grand public.

(Extrait du livre  » Le logo « , par Christian Delorme, Editions d’Organisation)